jeudi 10 décembre 2015

CON21. Gustavo Mazzatella.

Toute posture est imposture.

Les écologistes m’emmerdent grandement. Lorsque j’en entends un déblatérer près de mes organes auditifs, je pense à Ulysse accroché au mât de son bateau dans l’Odyssée, utilisant des boules quiès pour échapper aux sirènes... En ce moment, je suis servi, avec leur COP21 de mes couilles.

Les écologistes, ces sous-socialistes (c’est pour vous dire à quel point ils sont bas), je les fous tous dans le même sac poubelle recyclable ! Connards vaniteux... Putains d’égocentristes du genre : « Comment j’ai sauvé la planète » (Sophie Caillat)... Pour se donner bonne conscience, pas plus épatant qu’un bobo ! Avec le refrain permanent : « si chacun fait un petit geste... » ou plus stupide encore « il faut une prise de conscience collective... » J’ai très mauvaise conscience, ne vous en faites pas. Par contre, j’ai encore plus de mal à supporter que ces trous du cul viennent donner des leçons de morale parce qu’ils éteignent le robinet pendant qu’ils se brossent les dents. Moi aussi je pisse dans ma douche gros con ! Se

L'interview de Gustavo : Sylvia Lebègue !

Sylvia Lebègue fut la compagne du Professeur Choron pendant vingt ans. En janvier dernier est sorti son livre "Choron et moi", un témoignage essentiel d'une sincérité admirable sur cette histoire d'amour avec le co-créateur d'Hara Kiri et Charlie Hebdo. Entretien fleuve sans langue de bois.

Gustavo Mazzatella : Choron est-il le premier homme que vous avez connu ? Imaginiez-vous vivre une histoire d’amour de la sorte quand vous étiez jeune fille ?

Sylvia Lebègue : Le Professeur Choron est en effet le premier homme avec lequel je me suis engagée si longtemps. Une vie en somme, et pas des moindres, de plus nous avions 31 ans d’écart. Lorsque je l’ai rencontré, j’avais 24 ans et lui 55. C’est peut être insignifiant sur le moment, mais lorsque le temps passe et que l’on voit son conjoint atteint de multiples « petits bobos à répétition », on commence à réaliser qu’on a peut- être eu un « moment d’égarement » ! Je ne m’étais pas préparée à vivre une relation sans mariage, ni

Nabologie du terrorisme : le texte !

Paris, entre le 14 et le 21 novembre 2015.


Qu’on ne nous dise plus que c’est Daech qui a déclaré la guerre à la France. On a la preuve que c’est le contraire : je rappelle que ces informations datent de 2014, le 19 septembre 2014. C’est à ce moment-là que Hollande a décidé d’attaquer l’État Islamique et il commence par l’Irak, et d’une façon ridicule en plus, même le journaliste le dit : deux pauvres avions ridicules à côté de ce qu’essaient de faire à l’époque les Américains dans la coalition. Donc on a rien demandé au peuple et le gouvernement de Hollande frappe directement l’État Islamique. Je parle de 2014, donc c’est bien la France qui a commencé. Je ne parle même pas des frappes dernières qui ont occasionné plus directement les attentats du 13 novembre, qui ont été effectuées le 27 septembre, c’est-à-dire quelques semaines avant, qui ont frappé la Syrie directement. Tant que la France se ridiculisait en frappant l’Irak, l’EI ne s’est pas décidé à faire un attentat d’envergure sur le sol français. À partir du moment ou ils ont touché la Syrie, c’est-à-dire la base centrale de l’État Islamique, en particulier à Raqqa et à Deir

Offre d'emploi :


Discours. Evo Morales.

Merci frère ministre, Président de la COP21.

Soeurs et frères, organismes internationaux.

Aux présidents auditeurs du monde entier.


Nous avons ici une rencontre historique unique mais avec une grande responsabilité envers la Vie et la Terre Mère. Nous sommes ici présents pour exprimer les causes du réchauffement global. C’est pour cela, qu’au nom des mouvements sociaux de par le monde, nous devons rendre compte des conclusions de la Conférence Mondiale des Peuples sur le changement climatique organisée à Cochabamba au mois d’octobre de cette année, avec la participation de délégués des cinq continents, des milliers de mouvements et

Cher Europe 1... Gustavo Mazzatella.

« Cher » Europe 1,

Je ne sais pas si je suis un « auditeur » dans le sens où l’on peut l’entendre. A vrai dire, je considère à juste titre que la radio est aussi inutile que la télé et toutes les feuilles de choux qui peuplent les kiosques à journaux. La soumission à l’actualité est une facilité qui me répugne. Mais ça n’est pas le sujet. Pendant l’hiver dernier, je me suis pris d’abord à allumer la radio sur votre fréquence afin d’écouter l’émission de Frédéric Taddéï « Europe 1 social club ». Un ou plusieurs soirs par semaine, selon les invités surtout. C’était devenu une sorte d’habitude plutôt agréable. Mais je suis allé plus loin : quel inconscient ! Tenez-vous bien. Le midi, en déjeunant, j’avais également pris la mauvaise habitude lorsque j’étais tout seul d’appuyer sur la touche « on » de ma mini-chaîne hifi, et je passais donc le repas en compagnie de celle qui se nomme Wendy Bouchard ! Rien d’extravagant, rien de fascinant, pas grand chose d’intéressant même, mais, au fur et à mesure et malgré moi presque, j’étais

La recette + la blague du mois !

Vu la tristesse du pays dans lequel on se trouver, nos deux chefs cuistots idiots vous ont concocté une recette qui vous fera voyager ! Où ça ? Ailleurs ! Un nom pour la recette ? Joyeux Nemel !
Excusez-les pour tous ces jeux de mots ridicules...

Ingrédients :

- escalopes de poulet
- champignons
- eau pour la cuisson
- soja
- carottes
- riz
- 1 feuille de menthe
- et d’autres trucs, regardez dans la recette merde !

Préparation de la recette :